Angela – de la religion morte au Christ vivant
Angela – de la religion morte au Christ vivant
Je suis née en Italie dans un petit village des Abruzzes au sein d’une famille catholique très pratiquante. J’ai donc suivi le cours de religion à l’école ainsi que le catéchisme mais très jeune, je n’ai jamais vraiment adhéré à toutes ces « pratiques religieuses » : celles-ci n’avaient pour moi aucune utilité ! C’est pourquoi je priais le Seigneur depuis toujours en m’interrogeant beaucoup : « Pourquoi les pierres taillées dans l’église ? », « Pourquoi se confesser ? », etc.
Vers 9 ans, assistant au cours de religion, le curé nous présenta une icône illustrant la fin du monde et le retour de Jésus : les « sauvés » louaient Dieu les regards fixés vers une lumière resplendissante ; les « perdus » se cachaient de la face du Seigneur. A ce moment, je me suis adressée à Jésus en ces termes : « Seigneur, je veux faire partie des sauvés et voir ta face ! » (Apocalypse 20 : 11-15 ; 1 Thessaloniciens 4 : 13-18) En effet, j’avais au plus profond de moi cette intime conviction qu’un jour, je rencontrerais Jésus qui comblerait enfin ce vide qui me hantait depuis toujours et j’ai donc cherché Dieu jusqu’à l’âge de 28 ans.
En-temps, je me suis mariée en Italie et c’est en Belgique que mon époux et moi nous nous sommes installés. Là, j’ai rencontré ma voisine, chrétienne, qui tout de suite m’a partagé ce qu’elle connaissait de son Dieu mais j’ai bien vite rejeté ses paroles. Un matin, alors que je cherchais un endroit de la maison où accrocher un crucifix, elle me conseilla « d’ôter » Jésus de la croix car il était mort pour nos péchés, ressuscité et maintenant bel et bien vivant ! C’est au bout de quelques jours que j’ai donc décidé de l’enlever et à ce moment précis, une étrange légèreté m’a envahie !
Plus tard, je fus invitée à assister à une réunion dans une église évangélique où les chrétiens dégageaient la paix et resplendissaient. C’est de ce groupe de personnes dont je voulais faire partie ! Le Seigneur avait répondu à la prière que je lui avais adressée étant enfant ! J’ai donc accepté Jésus dans ma vie ; il m’a remplie de paix, de joie et s’est fait de plus en plus connaître à moi par sa Parole vivante, la Bible.
Dans les difficultés, je me suis toujours appuyée sur lui car il m’a donné l’espérance de la vie éternelle et dans toutes mes recherches, j’ai compris qu’il faut chercher Dieu quand on est vivant pour avoir l’assurance d’être sauvé.
(Psaume 27 : 13-14)