Salvatore – un accident qui aurait dû être fatal et une guérison surprenante
Salvatore – un accident qui aurait dû être fatal et une guérison surprenante
Je me suis retrouvé à l’hôpital aux soins intensifs. Le médecin qui s’occupait de moi disait à mon épouse que, vu la gravité de l’accident, il devait y avoir eu quelqu’un qui veillait sur moi dans le ciel. Le diagnostic était un décollement du poumon, quatre côtes cassées, une luxation et une fracture de l’épaule gauche. L’épaule droite, quant à elle, était en miettes. Les os étaient pulvérisés. J’avais aussi une plaie ouverte au niveau du biceps et une ouverture sur les deux côtés de la tête.
Le problème majeur était l’épaule droite. Dans le pire des cas, il fallait amputer, dans le meilleur des cas, placer une prothèse. Il fallut attendre la guérison des plaies et la stabilisation des paramètres vitaux avant de pouvoir envisager l’opération. Trois mois plus tard, on a procédé à l’opération. Le soir avant l’intervention, Dieu m’avait montré que je garderais la tête de mon humérus. Cependant, tout était prêt pour placer la prothèse. Quand le chirurgien ouvrit l’épaule, il s’attendait à trouver des fragments d’os nécrosés et inutilisables. Quelle ne fut pas sa surprise quand il s’aperçut que tous les fragments d’os et les tissus était encore en vie et ne présentaient aucune trace de nécrose. Il resta un long moment à réfléchir, puis décida de ne pas placer de prothèse. Je me suis réveillé après l’opération et, comme Dieu me l’avait montré, on ne m’avait pas placé de prothèse. Quelques jours plus tard, le chirurgien, toujours étonné de ce qu’il avait vu, me dit « Bénissez le Seigneur pour votre cas ! »