Salvatore – un accident qui aurait dû être fatal et une guérison surprenante

Salvatore – un accident qui aurait dû être fatal et une guérison surprenante

Je m’appelle Salvatore et je travaille comme aléseur-fraiseur tourneur dans une société de métallurgie. Il y a environ 9 mois (nous sommes maintenant le 15 mai 2006), je travaillais sur un tour quand un accident grave se produisit. Un tour est une machine puissante servant à façonner des pièces métalliques. La pièce est montée sur le tour et se met en rotation à très haute vitesse devant un outil de coupe. Pris par mon vêtement, j’ai été emporté dans le tour en rotation. Celui-ci faisait environ cinq mètres de long. J’ai fait trois tours dans la machine avant qu’elle ne m’expulse. Le tour tournait tellement vite qu’il a complètement arraché le haut de mes vêtements. Ceux qui connaissent cette machine savent qu’un tel accident a toutes les chances d’être fatal. Moi-même, je pensais que j’allais mourir. Les urgentistes étaient eux-mêmes étonnés de me trouver encore vivant.

Je me suis retrouvé à l’hôpital aux soins intensifs. Le médecin qui s’occupait de moi disait à mon épouse que, vu la gravité de l’accident, il devait y avoir eu quelqu’un qui veillait sur moi dans le ciel. Le diagnostic était un décollement du poumon, quatre côtes cassées, une luxation et une fracture de l’épaule gauche. L’épaule droite, quant à elle, était en miettes. Les os étaient pulvérisés. J’avais aussi une plaie ouverte au niveau du biceps et une ouverture sur les deux côtés de la tête.

Le problème majeur était l’épaule droite. Dans le pire des cas, il fallait amputer, dans le meilleur des cas, placer une prothèse. Il fallut attendre la guérison des plaies et la stabilisation des paramètres vitaux avant de pouvoir envisager l’opération. Trois mois plus tard, on a procédé à l’opération. Le soir avant l’intervention, Dieu m’avait montré que je garderais la tête de mon humérus. Cependant, tout était prêt pour placer la prothèse. Quand le chirurgien ouvrit l’épaule, il s’attendait à trouver des fragments d’os nécrosés et inutilisables. Quelle ne fut pas sa surprise quand il s’aperçut que tous les fragments d’os et les tissus était encore en vie et ne présentaient aucune trace de nécrose. Il resta un long moment à réfléchir, puis décida de ne pas placer de prothèse. Je me suis réveillé après l’opération et, comme Dieu me l’avait montré, on ne m’avait pas placé de prothèse. Quelques jours plus tard, le chirurgien, toujours étonné de ce qu’il avait vu, me dit « Bénissez le Seigneur pour votre cas ! »

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